L'événement principal de cette édition inaugurale emmènera le public en Haïti quelques décennies plus tôt, à travers une exposition collective de photographies d'archives. Pour faire honneur à la thématique, le festival mettra en avant le travail de plusieurs photographes haïtiens peu connus de notre génération, qui ont sillonné les villes d'Haïti au début du 19e siècle. Parmi ceux-ci: Louis Doret, Edouard Peloux, Gérard Martineau, Thérèse Monthas, Eugène Mevs, Edouard G. Mevs, Benoît Couba, Paul Couba et les photographes anonymes.
Le cinéma africain sera aussi mis à l'honneur durant les deux jours suivants par la présentation de deux films emblématiques congolais et ivoirien dont Bal poussière de Henri Duparc tout comme La vie est belle, de Mweze Ngangura et de Benoît Lamy. Les causeries en ligne, réalisées en amont du festival, se focaliseront essentiellement sur le métier de la photographie en parallèle à la question de la mémoire. En présentiel, des questions techniciens de l'image, ceux qui sont derrière la caméra (chef opérateur, cadreur, assistant caméra...) prendront la parole parole pour proposer leur vision dans le langage cinématographique des films après chaque projection.
Une expérience à faire !